Par une météo matinale clémente, propice à la promenade en bord de mer, je flânai et rencontrai des enfants revenant de la pêche. En leur demandant si leurs efforts avaient été fructueux, ils me tendirent leur prise du jour : un poisson pierre.
J’ignorais jusqu’alors que ce dernier se consommait, tant la réputation de son venin le précède et laissait croire qu’il n’en était rien.