Petit retour sur mon précédent séjour au Cambodge, séjour pour lequel je n’ai pas fini de trier mes derniers clichés.
Le monde se divise probablement en deux catégories: ceux qui prennent des cafés en terrasse, et ceux qui y mettent des éléphants. Le roi Jayavarman VII appartenait à cette deuxième catégorie, j’en veux pour preuve qu’il a fait bâtir la terrasse des éléphants, prétendument pour s’y poser et célébrer le 14 juillet en regardant ses troupes défiler avec six siècles d’avance, parce que Jayavarman VII était un précurseur et qu’il possédait déjà l’avenue des Champs-Élysées.
Après la neige qui a pris tout le monde de court il y a deux jours, le soleil a refait son apparition. Malgré le froid qui persiste, les températures ne sont plus sous le zéro. Et tandis que le soleil pointe le bout de son nez, d’imperturbables joueurs disputent au bord d’un cours d’eau en plein dégel, des parties de mah-jong sous l’œil de spectateurs avertis.
Hier, Pékin, comme toute la Chine, vibrait au son des pétards et des feux d’artifice pour célébrer la fête des lanternes (元宵节) qui marque la fin du festival du nouvel an.
Aujourd’hui, le ménage a été fait, et cette ruelle portait encore les belles décorations de ce dernier jour de fête avant quelque temps.
Qui est-ce qui tire les ficelles ? À une époque où l’on se demande comment démêler le vrai du faux, la vérité du mensonge et la réalité d’un fait alternatif, j’ai préféré vous offrir le grand sourire de marionnettistes, grand sourire tout droit venu d’un pays où il a bâti une solide réputation touristique.
Voici une nouvelle galerie de photos, prises pendant le début du nouvel an chinois à Pékin. Les clichés proviennent du temple Hongluo (???), qui se situe au nord de la capitale. Le temple de l’escargot rouge édifié sur la montagne du même nom est un site bouddhiste. Pour tout vous dire, on y trouve le long d’un parcours la bagatelle de 500 statues représentant des arhats.
Je n’ai pas pu tout visiter parce que le site s’étend sur une très grande surface, mais je ne désespère pas de revenir y faire un tour, pendant une autre saison. Toujours est-il qu’en ce début d’année du coq de feu, j’ai pu profiter d’un peu de spectacle, alors je le partage bien entendu avec vous.
C’est encore dans la vieille ville espagnole de Manille que j’ai pu photographier ces fenêtres menant vers un autre monde. Au centre de la fresque, l’oiseau qui semble prêt à fondre sur sa proie est un pithécophage des Philippines.